Bonjour, cette chronique est partielle et partiale. Madame Diallo tient des positions tranchées, non consensuelles, parfois extrémistes. Elle combat au non de « communautés », alors que la république ne les reconnaît pas. Elle déforme l histoire dans ses analyses, et elle supporte mal la contradiction. Elle emploie les mêmes armes que les personnes qu’elle combat. R Enthoven et L Bouvet lui font des critiques pertinentes et argumentées sur ce sujet.____Il est surtout irresponsable de laisser Rokhaya Diallo mentir, provoquer, enfermer sans cesse les gens dans leur religion, leur race, leur sexe, fermant ainsi la porte à tout débat et à toute réflexion. Rokhaya Diallo ne manie que l'invective, l'insulte, la caricature. Elle est la négation absolue de la pensée réfléchie, de l'échange, de la réflexion construite et constructive. Ne sachant qu'attiser les haines, elle est le pire qui puisse arriver à l’antiracisme moderne._____Rokhaya Diallo est une idéologue indigéniste. Une idéologie nauséabonde contraire aux valeurs de la République, n'en déplaise à l'auteur ! Complaisante avec l'islamisme et adepte des réunions interdit aux blancs, elle dévoie complètement la cause anti-raciste._____________Qui développe et fait prospérer dans le débat public les thématiques identitaires ? Ceux qui ne cessent, comme le fait Rokhaya Diallo, de mettre à toutes les sauces la « race », qu'il s'agisse de la couleur des pansements, de la texture des cheveux, ou de la présence insuffisante de telle ou telle couleur dans les médias..._____(en particulier sur les dérives identitaires de cette mouvance indigéniste et décoloniale qui se prétend antiraciste alors qu'elle développe des thèmes et des pratiques racialistes voire clairement racistes), je ne harcèle personne. Débattre et harceler, ce n'est pas la même chose. Et je ne critique pas Rokhaya Diallo à raison de ce qu'elle est, de la couleur de sa peau, de sa religion ou de son genre, mais de ce qu'elle dit.__________Là aussi, le procédé de l'inversion accusatoire est bien en place, même s'il est éculé et ne trompe personne, du moins pas les gens de bonne foi. Qui développe et fait prospérer dans le débat public les thématiques identitaires? Ceux qui ne cessent, comme le fait Rokhaya Diallo, de mettre à toutes les sauces la «race», qu'il s'agisse de la couleur des pansements, de la texture des cheveux, de la présence insuffisante de telle ou telle couleur dans les médias, les entreprises, etc.? Ou ceux qui défendent dans le débat public un humanisme universaliste certainement pas aveugle aux discriminations de toutes sortes mais soucieux de construire un espace commun dans lequel elles sont combattues par une véritable égalité des droits plutôt qu'une différenciation selon l'origine, la couleur de la peau, la religion, etc.?________________"Kiffe ta race" veut dire
je vous emmerde, les députés et la justice, car, de part ma couleur de peau, vous ne pouvez absolument rien contre moi et vous vous retrouvez le nez dans votre propre caca. Quelqu'un de votre race de blanc dirait "kiffe ta race" et, immédiatement, il serait cloué au pilori, alors que moi, grâce à vous, je suis à l'abri. Je peut faire et dire ce que je veux, moi et ceux de ma race", ainsi que les "ni blanc, ni noir" (les gris aigris). ....Moi, Assougoudrel, je parle comme les gens moches (seule la beauté de l'âme compte); donc "seule la couleur de l'âme compte". Comme sa couleur de peau, Diallo (qui fait partie de la noblesse africaine avec ce nom) a l'âme plus noire que la bêtise et la méchanceté. Tout ce qu'on demande à l'être humain, c'est d'avoir une âme pure et blanche, quelque soit sa couleur de peau. "Kiffer à perdre la raison", chantait Jean Ferrat.
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