Petite analyse pour essayer de comprendre et de raison garder : Le Président Macron est très intelligent, un banquier redoutable et sans scrupules, très sûr de lui. Son complexe de supériorité le conduit parfois au mépris et à l’insolence. C’est un intellectuel qui n’a été confronté qu’à des dossiers virtuels. Son intelligence se fracasse sur la réalité d’un quotidien qu’il n’a jamais vécu car sa vie a toujours été préservée. Maitre des horloges, Il pensait maitriser le temps et les évènements, il ne les contrôle plus. Il ne sait pas s’il doit les subir ou comment les subir. Il est très seul, de par son intelligence prétendue supérieure à tous, il a fait le vide autour de lui par son autorité, sa volonté de tout contrôler et son refus de déléguer. Ses amis, ses collaborateurs, certains de ses ministres l’ont quitté, épuisés de se voir marginalisés, rembarrés. Selon certaines sources, il est à la limite du « burn-out », épuisé ! Il faut donc considérer le dernier remaniement dans ce contexte, comme une nouvelle provocation, une bravade d’un bourgeois angélique tourné vers l’exotisme où il montre son mépris du peuple de France qu’il n’a jamais bien considéré, « des moins que rien », des « illettrés », des « alcooliques »… Même la France lui est indifférente, il lui préfère le reste du monde. Est-il encore en état de gouverner sans être en symbiose avec le peuple ? Comprendre ses espoirs ? Ses craintes ?88888Elle n' est ni écolière ni étudiante ELLE EST MINISTRE et représente LA FRANCE cela semble vous avoir échappé ! Le racisme n' existe que dans votre pauvre tête de complexé( e ) identitaire aliéné( e ) d' ex colonisé( e ) ! Vous ne savez que maudire, cracher et pleurnicher votre ressentiment qui est un racisme anti-blanc
Tout ça pour ça...
 
Ah, il a bonne mine celui qui allait nous envoyer dans le nouveau monde des premiers de cordée. Comme d'hab - et sans l'urgence d'une crise mondiale, on va encore emprunter pour survivre. "Encore un moment Mr le Bourreau" n'est-ce pas ? En termes vulgaires cela s'appelle baisser sa culotte. La palme à la bêtise ou à l'inconséquence pour n'en pas vexer certains est d'avoir avalé les billevesées de ce Jupiter qui n'en finit plus de faire pschitt.L'arc en ciel______
 
Il y avait : les blancs, les bleu, les rouge, les rose, les vert et les orange, les jaunes viennent s'ajouter à la confusion !
les sondages si critiqués ces derniers temps n'ont reçu aucune critique lorsqu'ils affirment que pres de 80 % des français sont pour la pagaille organisé
La plupart des médias sèment le ferment des restrictions à la liberté d'expression tant ils se gavent de la " liberté de la presse PARTIALE"
La multiplicité des chaines d'information s'avère calamiteuse, obligées pour meubler nos 24 heures à une surenchère. , admettons toutefois que nos présentateurs vedettes sont brillants dans leurs conseils, apanage des " à postériori", le niveau de leurs émoluments justifie que 100 € ce sont des miettes, ont ils idée de la proportion des ces miettes sur un smic.
La. " dém (ag) ocracie". S'avère comme lors de chaque prise de position politique.
On nous offre la réaction des opposants du moment alors que pour des raisons purement électoralistes elles s'opposent d'office. Toujours le verre à moitié vide, les politiques se réservent le verre à moitié plein et s'en réservent._____Un énarque...
 
C'est comme un communiste : Ca ne change jamais. Je commence et finis par l'engeance, notre classe politique est ainsi._____Macron a montré sa faiblesse
 
Macron a perdu sa crédibilité hier soir, il a montré sa grande faiblesse, en venant demander pardon aux français, comme un petit garçon venant s'excuser devant ses parents.
Comment imaginer à présent qu'il osera tenir tête à tous les syndicats de fonctionnaires, à tous ceux qui vivent des dépenses publiques, pour annoncer que la France va les réduire substantiellement ?
Impossible, alors que seule une réduction de ces dépenses peut permettre une réduction des prélèvements, la France étant devenue en ce domaine le champion du monde.
Le quinquennat de Macron est fini, il gérera les affaires courantes à présent, tous ceux qui s'opposent aux réformes connaissent maintenant la méthode pour le faire reculer...
Le pire, c'est que ce mouvement de protestation n'est pas né d'une réforme, mais d'un impôt supplémentaire, la taxe carbone, justifiée par un prétexte écologique, dans un pays saturé d'impôts !
C'était donc le contraire de la réforme, c'était la poursuite de la fuite en avant, qui finalement était reproché à Macron, avec l'utilisation du levier fiscal, pour ne pas avoir à faire des économies dans les dépenses...
Finalement, Macron aura ainsi compromis toute chance de faire des vraies réformes, en se mettant à dos tant ceux qui veulent une réduction des dépenses, que ceux qui n'en veulent pas !
C'est cela qu'on devrait lui reprocher.______On reste sur notre faim.
 
Treize minutes enregistrées pour convaincre ne semblent pas un exercice facile et ce qui m'a d'abord interpellée, c'est que le début du discours de Macron commence par "nous", ensuite repris par un "je" pour terminer avec le "nous"... Prendre les 40 années comme bouc-émissaire, c'est trop facile car il ne doit pas omettre sa fonction d'ex Ministre de l'Economie dans le gouvernement précédent et qu'aujourd'hui, il exerce le pouvoir de Président depuis 18 mois et que pendant ce laps de temps, il a réussi par sa politique injuste et anti-démocratique écartant tous les contre-pouvoirs ainsi qu'une large partie du peuple, laisser se dégrader depuis des semaines par entêtement une situation menant à une crise politique grave dont il ne veut pas assumer. Quant à ses décisions prises dans l'urgence, comment pouvait-il manoeuvrer autrement puisque les caisses de l'Etat son bien vides mais là aussi il y a des gagnants et surtout les perdants toujours soumis à l'impôt, à la CSG, uniques vaches à lait qu'il peut encore traire pour boucher les trous de son budget 2019 voire éviter de creuser le déficit de la France pouvant la conduire à la faillite assurée. Quant au mea culpa et à l'empathie envers les citoyens, faut-il le croire, je n'en sais trop rien, qu'il aime la France, oui, sûrement mais pour le reste, je reste sur ma faim, en ce qui concerne le fond de ses pensées. Le problème de ce malaise du peuple émane bien de lui seul et à mon humble avis, chasser le naturel, il revient au galop.____Gueule de bois
 
Ce qu'il y a de curieux dans cette affaire c'est que ce ne sont pas ceux qui font la fête depuis trois semaines qui se réveillent avec la gueule de bois, mais au contraire tous ceux qui se sont employés à dénoncer leurs demandes incohérentes, contradictoires et anti-économiques.
C'est un recul, que l'on ne s'y trompe pas ! Et sans doute un recul dans les pires conditions - c'est à dire que l'on voit bien les pertes (fin des réformes, délégitimation d'un gouvernement pris à contre-pied, perte durable de crédibilité de la voix de la France, et surtout l'infernal triptyque : inversion vers le haut de la courbe de l'endettement, anéantissement de la fragile croissance et augmentation subséquente du chomage) et que l'on ne voit pas les gains : les GJ sont un petit nombre, non pas de petites gens comme il est abusivement dit, il est beaucoup de gens dits petits qui sont dignes et raisonnables, c'est le plus grand nombre, mais de gens qui (riches ou pauvres) n'ont que le bruit et la fureur comme mode d'expression, la haine aussi, quand tout cela ne tourne pas à la pantalonnade. Il n'était pas besoin de 10 milliards d'euros pour mettre un terme à leur mouvement, et à son cortège d'illégalités en tous genres. Du sérieux et de la fermeté auraient suffi, à condition de s'exprimer dans la durée et de manière résolue...
Dramatique : la France est folle, et définitivement incapable de se réformer.