Sibeth Ndiaye, comme toutes les personnes grandies trop vite, ne manque pas d'assurance. Et cette trop grande confiance lui jouera forcément un mauvais tour. Au-delà de la démagogie à bon compte, elle a surtout tenté de faire un bon mot. D'autant plus que Rugy n'est pas un foudre de guerre et encore moins un grognard de de la Macronie. Le jour n'est pas loin où elle posera, emportée dans son élan, le pied sur la mine. Alors, à ses dépens, elle apprendra qu'après le clic vient le grand boum...____Trois question sur Sibeth N'diaye
A/ A quoi sert elle ? J'avoue ne pas le savoir. Normalement, elle est supposée transmettre au public les orientations du gouvernement. Je pense que c'est indiqué sur sa fiche de poste. On peut se demander d'où lui est venue l'idée aussi sotte que grenue : ) de comparer le homard et le kebab. Est ce la position officielle du gouvernement ?
b/ Comment a t-elle été choisie parmi, on le suppose, d'autres candidatures ? J'ai presque peur de poser cette question, tant il semble évident qu'être une femme a probablement été un critère essentiel : )
c/ Kebab : Le choix de l'opposition au homard (pourquoi ne pas parler du steak frites, ou de la pizza, ou du sandwich jambon-beurre ? ) interpelle. Non pas à cause de l'origine (on devrait plutôt dire des origines multiples) du kebab, mais parce que le kebab, devenu industriel, est aussi un des symboles modernes de la mal bouffe, à placer aux côtés du McDo. On rappellera à Sibeth N'Diaye que la mal bouffe est un fléau, et qu'elle transforme en culbuto la majorité des jeunes femmes qui en abusent (Je ne cite pas les jeunes hommes, lesquels avaient déjà la recette miracle pour devenir obèses, à savoir l'excès de bière devant les matchs de foot).
Si elle pouvait réfléchir avant de parler la prochaine fois, ce serait bien.____Oui cette porte parole devrait plutot se taire que de parler pour ne rien dire
D’intéressant qui ne peut que semer la zizanie, il y en a assez comme cela !
On a bien eu comme dans les années 60 le couscous qui avait fait une entrée fracassante, cela s’est calmé et est passé dans le commun de la cuisine française !
Maintenant on veut encore nous faire avaler le multiculturalisme avec le Kebab pour être dans la bienpensante du politiquement correct hypocrite de nos dirigeants !?
Il faut laisser à la France sa culture culinaire ancestrale que le monde entier nous envie et ne pas essayer de nous faire changer tout, cela suffit !
Car les donneurs de leçons divers çà, on en a une indigestion !
Cette trop jeune porte-parole du gouvernement, s'il elle voulait se faire comprendre n'avait qu'à dire que les français mangeaient plutôt des steak frites ou hamburgers plutôt que des homards plats de luxe et onéreux que certains peuvent s'offrir pendant nos fêtes de fin d'année (s'ils en ont les moyens !?)
C'est désespérant de devoir subir les inepties de certains membres bobos du gouvernement car chacun a le droit de manger ce qu'il veut, c'est comme les religions mais, il ne faut pas essayer d'en influencer le peuple lambda par des moyens détournés et paroles sans intérêt !
Cette jeune personne devrait revoir ses discours avant de pérorer inutilement sur les écarts d'un ministre par ses agapes...
Son intervention était inutile mais on n’a que ce qu’on mérite quant on met à un poste ou justement on prend la parole des membres gouvernementaux non qualifiés pour ce type de tache !_____Quel délire !
Entre ses habillements parfois loufoques, ses coiffures échevelées, et ses ropos délirants, elle symbolise parfaitement le pouvoir macronien, plus souvent à coté de la plaque que dans les clous._________Elle se distingue encore une fois, sa personnalité colle parfaitement à son prénom. Elle voit tout sous le prisme des minorités. Pathétique._____Pas seulement jeune !
Elle ne veut pas seulement "se faire jeune", mais elle veut aussi "se faire multiculturelle", mais il s'agit en l'espèce d'un multiculturalisme bien spécifique, comme d'habitude !
Et nous, nous devons bien sûr supporter ça sans rien dire, sauf à être vilipendé par la bien-pensance dominante.____
Sibeth Ndiaye_____ Et maintenant chaque fois qu il y aura une critique contre elle , les gens se feront traiter de raciste ! Y a pas à dire Macron est très fort pour éviter toute critique de son gouvernement !_____ Macron est un malin ; en la choisissant il sait fort bien que certains la défendront bec et ongle quoiqu elle fasse , sous le prétexte du racisme !_____ Angela Devix Les cheveux crépus ne me gênent en rien pas plus que les vêtements colorés mais ici, dans ce cas concret la " meuf " fait dans la provocation mais cela vous a peut-être échappé car, par ailleurs, sa chevelure se fait généralement plus discrète. Ce qui vous a échappé aussi c' est que Macron veut faire grimper le RN ce qui lui permettra de se retrouver face à Marine Le Pen et ainsi de gagner les prochaines élections. Alors là en choisissant sa copine, Française de Papiers depuis à peine trois ans !!! Il va faire sortir du bois tous les FN'haineux ! Alors votre discours à la mord-moi-le noeud m' importe peu d' autant qu' à mon âge j' ai participé au combat d' Angela Davis ! Sibeth est devenue hier Ministre FRANCAISE alors qu' elle s' habille en sorte qu' on la respecte mais non elle écoute son boss le doigt sur la couture de sa robe ! C' est voulu, et ça marche du feu de tous les dieux ! Faut réfléchir Angela mais ce n' est sans doute pas votre problème. A force de prendre les Français pour de boeufs ou des racistes, il faut arrêter les manipulations ! Le Pen était à 2 % en 1981 date de l' arrivée de Mitterrand au pouvoir et près de 40 ans après ....JAMAIS les Français ( de souche ou assimilés ) n' ont été aussi divisés. Honte, HONTE aux Socialop' et aux associations de la Bien-pensance qui s' entêtent à faire monter la sauce ! Les manipulations outrancières et les partis pris y' en a marre !_____le CRAN (qui n'en a pas) et notamment, son président d'honneur, qui est Béninois (qui mange bien à la soupe des Blancs) , ferait mieux de s'exprimer sur ce que ce passe en Afrique noire, et récemment sur le massacre de 160 peuhls au centre du Mali____Toutes les formes de racisme sont pour Albert Memmi des « bûchers de fagots ou de mots, sur lesquels rôtissent nos ennemis, ou désignés tels, [qui] entretiennent une bonne chaleur pour l’âme collective[1]. » Le racisme est aussi une « bataille rhétorique », donc fondée sur un langage et des « mots ». En fait, qu’est-ce qu’un mot sinon d’abord « un grognement » ? N’est-ce pas le sens étymologique du bas latin muttum tel que le précise le dictionnaire ? Le pouvoir des mots est immense, il existe parfois des mots qui blessent, des mots qui tuent, ceux qui restent gravés dans la mémoire, qui sont censurés, interdits, pesés. On sourit des mots d’enfants, des mots gentils… Qu’on les dise ou qu’on les écrive, les mots ont un pouvoir infini. Pourquoi écrire ou parler si ce n’est pour « avoir son mot à dire », parfois d’une manière élégante et raffinée en utilisant « le bon mot » ou « le mot d’esprit » qui attirent le respect, l’admiration ou la sympathie, et parfois on est amené à utiliser de « grands mots » ou des « gros mots », à « avoir des mots » avec quelqu’un, car tout un chacun, « sans jouer sur les mots », veut souvent « avoir le dernier mot ». « En un mot », la parole n’est jamais anodine et lorsqu’elle est écrite elle est moins spontanée, moins inconsciente, donc plus réfléchie. C’est pourquoi il nous a semblé intéressant de nous pencher sur le sens de certains « mots » et sur leur pouvoir caché à travers quelques exemples empruntés à l’oeuvre d’Albert Memmi. L’emploi de l’expression générique « mot » nous permet de ne pas classer les termes que nous analysons dans des rubriques précises de fonctions grammaticales. Notre attention se portera aussi bien sur les substantifs que sur les noms propres ou les adjectifs. Nous utiliserons comme corpus fondamental le roman de Memmi La statue de sel[2], en nous référant également, en temps nécessaire, à d’autres textes du même auteur. Nous n’avons pas la prétention d’être exhaustifs ni d’aboutir à des affirmations catégoriques ; cela pourrait faire l’objet d’une étude plus approfondie.