"vivreensemble", racisme et populisme qui cachent un mépris des préoccupations d'une partie de la population, défense d'une repentance historique qui vire à la haine de soi etc...Je crois que je suis de l'avis de daffy duck :
Rien ne m'énerve autant que les gens qui se présentent comme "féministes pro-sexe" par exemple. QUI se définirait comme telle si elle n'avait pas trouvé cette charmante appellation sur un forum d'intégristes du chromosome X ? Quel activiste n'a jamais adopté les slogans et idées pré-mâchés de son parti/asso ?
Vous allez me dire qu'il existe autant de féminismes que de femmes... Alors évitez de vous moutonniser comme s'il n'y avait pas de subtilité dans vos idées.___Pour conclure, centrer les échanges sur le contenu, au lieu de discuter des labellisations, ou des dites identités, c'est bien plus riche et dynamique. Je m'en fiche que Truc se définisse féministe, parce que ça n'a objectivement pas de sens sauf si elle-il a reçu le même savoir académique que moi ou a lu les mêmes auteurs, connaît l'Histoire du féminisme et des féminismes... En fait, ce n'est même pas suffisant ! Par contre savoir qu'il-elle est pro ou anti prostitution, pro ou anti peine de mort, pro ou anti avortement, pro ou anti loi sur la burqa etc. ça oui, ça me parle
J'engueule les mecs qui me rappellent trop souvent que mon sexe est considéré comme faible. Je pioche des idées chez Beauvoir. De manière plus anecdotique, je pousse par exemple ma (grand-)mère soumise à s'émanciper un peu du schéma traditionnel de la femme qui cuisine
et du mari qui conduit (#causeperdue).
Mais je ne partage pas le démon de la visibilité associative de mes semblables.Edit :
D ' ailleurs, je suis toujours en train de réfléchir aux commentaires d'un de mes contacts au sujet de cet article :
" Le mouvement féministe est né en même temps que l'époque où celles ci ont voulu s'émanciper.
"Exact une fois que les femmes ont obtenu gain de cause, le féminisme aurait du disparaitre de nos contrées, sauf qu'entretemps le mouvement antiraciste est apparu dans les années 80, sous le régime mittérandien. C'est en observant le financement de leur confrère via les sponsor de la gauche que celles ci se sont dit qu'il était possible de faire de leur lutte un bizness, vaquant de ci de là, des combats sous faux drapeau, alors que l'arsenal judiciaire est déjà suffisant pour faire condamner les hommes violent. En France le problème est une question d'application des peines, mais là c'est encore une autre question."
___Les anti-féministes citent souvent les Chiennes de Garde comme exemple du féminisme français. Sauf que les Chiennes de Garde sont médiatiques… parce que leur sphère d’action, c’est justement les médias !Les anti-féministes citent souvent les Chiennes de Garde comme exemple du féminisme français. Sauf que les Chiennes de Garde sont médiatiques… parce que leur sphère d’action, c’est justement les médias !______ Ce qui veut dire, face à une réflexion machiste par exemple, faire celle qui ne comprend pas. On fronce les sourcils, on regarde l'autre comme s'il était un extraterrestre ... Genre, "mais d'où il sort celui-là".
C'est beaucoup plus efficace que de s'énerver, de revendiquer... Parce que dans ces cas-là, juste, le mec glousse, et si il y a d'autres hommes présents, ils se mettent à glousser en coeur.