drôle de réquisitoire: "... trois morts", "vous allez juger le mensonge" ...
sur le fond, le prévenu a avancé un mobile: la volonté à tout pris (et mécanique) d'Alexia Daval d'avoir un enfant et ses moqueries sur sa virilité, le fait qu'elle le battait et l'insultait régulièrement
mais l'avocat général a pris le parti de protéger la réputation de la victime et de sa famille
Jonathan Daval, qui doit être puni pour son crime, en deviendrait presque un bouc-émissaire: un bouc-émissaire des "féminicides"
avec ses faiblesses, ses aveux, ses excuses auprès de la mère et de la famille ...
la famille elle-même demande-t'elle la perpétuité ?
attendons-donc la plaidoirie des avocats de la défense
la question du mobile est importante, espérons que la cour pourra encore l'éclaircir avant que le jugement soit prononcé
Une idéologie qui part d'une idée qui est bien sûr indiscutable : la liberté des femmes, l'égalité hommes-femmes, le respect des femmes et la fin d'une société patriarcale qui n'était plus tenable.
Mais aujourd'hui tout me semble devenu prétexte à se plaindre, se positionner systématiquement en victime des hommes. Le féminisme des années 60 était, il me semble, porté vers la liberté et l'autonomie des femmes. Mais je n'ai pas la sensation que les femmes de l'époque se portaient en permanence en victime des hommes et en guerre contre eux.
Aujourd'hui cela me semble être le cas. On demande les avantages des hommes sans les inconvénients, on ne veut plus les inconvénients des femmes mais on tait les avantages.
La victimisation, se porter comme la victime de l'autre, rendre les choses binaires, s'est généralisée dans notre société et le féminisme n'y a pas échappé.
Alors, par bonne volonté, dès qu'on peut sortir un article sur les méchants hommes, sur les pauvres femmes victimes, hop, c'est parti. En plus ça fera toujours mouche.
Les violences conjugales ? Des féminicides ! Et on a oublié tous les hommes battus et tués par leurs femmes...........
La pauvreté ? On va forcément prendre le point de vue d'une mère célibataire.
Le débat sur les taches domestiques ? On va regarder le repassage et la vaisselle, mais bien sûr on va oublier le bois, le bricolage, le jardinage et toutes les tâches historiquement masculines.
Le confinement ? Plein d'articles sur les femmes célibataires qui galéraient en télétravail avec leurs enfants. Pour franceinfo, une famille c'est une mère célibataire ou un mari qui ne fout rien. Tout est ramené à ce sujet, et les hommes en général ne sont même pas entendus.____Doucevie 1
le 21/11/2020 à 11:37
Marre de ce roman. Entre la covid et cette histoire. Le drame dans cette histoire c'est la rencontre amoureuse entre Alexia et Jonathann. Inadmissible que Jonathann est tué sa femme et si c'est vraiement lui tout seul il doit payer mais alors la mère, l'horreur absolue. Moi à sa place j'aurais fuit cette famille dès le départ. Quand on l'entend parler devant les micro, comme elle s’habille, on ne ressent pas une mère qui a vraiment de la peine et qui se médiatise un maximum. La mère de Jonathann, simple, dans sa fauteuil roulant a tout de même plus de dignité. Après tuer, peut être violer, brûler c'est l'horreur mais peut on dire dans la vie que des circonstances ne peuvent vous amener à faire des horreur. Regardons certains gilets jaunes dans la pauvreté qui ont pété les plombs dans les manifestations. Il y a des vrais voyous et des gens qui craquent et peut être Jonathann a craqué et en fait il avoue tout pour fuir cette famille. Je n'en sais rien. J'espère qu'Alexia va reposer en paix, elle méritait de vivre et que nous on ne verra plus sa mère ce dont je doute un peu.____e trouve que les réquisitions du Procureur sont entachées de convictions personnelles qu'il n'a pas été à même d'en établir la matérialité alors qu'il été possible de le faire au cours de l'instruction. Dès lors certaines de ses affirmations n'ont aucune valeur juridique. Ce réquisitoire est particulièrement militant par rapport à la famille de la victime. Je n'excuse absolument les faits, ni ne dédouane en aucune façon l'accusé, mais il me semble que l'on ne peut pas attribuer l'intégralité des torts à l'accusé sauf bien entendu le meurtre. On n'a visiblement pas chercher durant l'instruction à comprendre les tenants et aboutissants qui ont mené à cette issue dramatique.____Un mauvais, très mauvais procès sur la forme et le fond. L'accusé est responsable mais les subornations de jurés par médias interposés, la sortie d'un livre peu de temps avant le procès autant d'éléments qui démontrent que ce procès n'est qu'une caricature de justice. Le Figaro dans un effort d'impartialité (ironique) à même fait suivre ce procès par l'auteur du livre qui lui-même ne rentrera pas dans l'histoire de la littérature.
La justice américaine, n'a franchement rien à envier à la justice française. Ils sont bien plus professionnels au Pénal.____L'avocat général a outrepassé son pouvoir et sali sa fonction en donnant la parole à la limite de la régularité à la mère d' Alexia et bizarrement, pas à son père ? Cette femme manipulatrice s'est "imposée" comme si elle était l'avocat de la partie civile , contrairement à son mari . Ceci explique peut-être cela ....Instruction lamentable, excès de médiatisation, cette "parodie" est loin de redonner à la justice la confiance dont elle fait cruellement défaut envers les citoyens français .____Comme d’autres, je suis mal à l'aise pour trouver juste une punition si sévère, je pense que tant Jonathann qu'Alexia ne maitrisaient que partiellement leurs actes et leurs buts, pas assez eux-mêmes, trop socialisés, ils vivaient les vies qu'on exigeait d'eux, leurs vraies personnalités n'ont pas pu supporter le faisceau de contraintes et ont commandé à leurs parts bestiales de reprendre le dessus. Désolé pour ceux qui veulent toujours mettre la faute sur les individus, mais la société a une part importante de responsabilité dans ce drame.____le mobile d'un crime ne se présume pas, des suppositions ne constituent pas des preuves. Donc on ne doit juger que sur des preuves tangibles. Dans le cas présent quelle est la preuve qu'Alexia voulait quitter son mari ? En revanche elle suivait un traitement pour avoir un enfant dans son couple. Questions : Envisage-t-on une grossesse avec son mari, en suivant un traitement, si on a l'intention de le quitter ? curieuse la démarche !
Quelqu'un était-il présent lorsque le drame s'est déroulé ? personne jusqu'à preuve du contraire.
donc si on peut croire, sans preuve, qu'Alexia voulait quitter son mari, on peut tout aussi croire la version du mari.____Il semble émerger un certain consensus parmi les intervenants réguliers du forum, qu'ils soient gauchistes indécrottables ou droitistes forcenés, pour trouver ce procès et ces réquisitions iniques.___
le 21/11/2020 à 12:43
On fait les paris ?
Le mari meurtrier est quelqu’un d’immature. Il n’a plus supporté les attentes et les reproches de sa femme concernant leur sexualité.
(l’éventualité d’une demande de divorce n’est pas établie).
La coupe était pleine et soudain le vase a débordé. Pas de préméditation donc, car alors il n’y aurait pas eu lutte et les choses auraient été « bien » faites.
Acte II: Comment faire face à la famille et la société ? c’est la phase de travestissement (jogging dans la forêt, battue, marche blanche, plus tard mise en cause de certains membres de la famille par le mari), mais pas fausses larmes, la peine étant bien réelle !
Acte III: Lors de la reconstitution, le mari ne résiste pas devant sa belle mère dont l’ascendant reste très fort. Il craque une nouvelle fois. Idem lors du procès. Alexia et Jonathann étaient un couple fusionnel au sein d’une famille fusionnelle, ce qui n’est pas synonyme de transparence, notamment pour ce qui touche à la sexualité et l’intimité du mariage : Alexia a sans doute caché à ses parents le degré d’exaspération où elle était arrivée par rapport à son mari. Quant au rôle -médiatique- de la mère d’Alexia, il est le fruit des revirements qu’elle a obtenus de Jonathann, c’est tout. Le reste, c’est le fait de media en quête de sensationnel. A présent que la famille sait et le jury également tout ce qui est établi, la justice n’a besoin de rien d’autre. La société a son mobile ! Que demander de plus ?Au travers de ce que la presse nous donne a voir, la personnalité de ce bonhomme ressemble au portrait robot de ce qui ce développe de plus en plus, ou l' avènement dans le monde adulte des "adulescents" , a savoir des individus avec tous les apparats d'un adulte responsable (famille, travail, pavillon, suv, labrador...) mais l' envers du décor est tout autre : des vieux enfants incultes, sur sollicité par leurs smartphone, trop occupé a chasser le pokémon et trouvant du réconfort dans les bras de leurs compagne faisant office de maman de substitution tout en leur offrant le reflet du male alpha !!!! Rien de bon lorsque arrive les turpitudes!!!!!
15 ou 20 ans j’imagine____Comme d’autres, je suis mal à l'aise pour trouver juste une punition si sévère, je pense que tant Jonathann qu'Alexia ne maitrisaient que partiellement leurs actes et leurs buts, pas assez eux-mêmes, trop socialisés, ils vivaient les vies qu'on exigeait d'eux, leurs vraies personnalités n'ont pas pu supporter le faisceau de contraintes et ont commandé à leurs parts bestiales de reprendre le dessus. Désolé pour ceux qui veulent toujours mettre la faute sur les individus, mais la société a une part importante de responsabilité dans ce drame.____L'avocat général a outrepassé son pouvoir et sali sa fonction en donnant la parole à la limite de la régularité à la mère d' Alexia et bizarrement, pas à son père ? Cette femme manipulatrice s'est "imposée" comme si elle était l'avocat de la partie civile , contrairement à son mari . Ceci explique peut-être cela ....Instruction lamentable, excès de médiatisation, cette "parodie" est loin de redonner à la justice la confiance dont elle fait cruellement défaut envers les citoyens français .____