Le Canard...
... À l'origine de cette super-affaire, comme plus tard celle de Fillon, n'a jamais vu que d'un œil, le gauche : en 14 ans de Mitterrandisme ils n'ont, par exemple, jamais été capables de suspecter le moindre indice de bigamie chez "Tonton".
Pas de doute, on peut leur faire autant confiance qu'à Médiapart.____Le canard
@jeanren
Et l’avocat du canard etait Roland Dumas____Autre interprétation
C'est la loi sur l'IVG qui à couté au minimum 400. 000 voies de catholiques conservateurs à VGE et le torpillage par Chirac, qui pensait que la gauche au pouvoir n'allait pas durer un an. C'est cela qui coulé VGE, qui restera un très grand président.____Le mensonge qui a tué est celui du Canard Enchainé
Le journaliste -maintenant retraité- auteur de ce mensonge l'a avoué il un a un ou deux ans. Il n'y avait pas d'affaire des diamants.
Cela a contribué à l’élection du super démagogue qui a enclenché le déclin français toujours en cours.
Le canard n'a jamais été poursuivi (il est à gauche)____@cafénoir, 19 : 26
Puisque vous avez un tel sens de l'équilibre des jugements, même aux moments les moins bien choisis, vous avez dû vous sentir particulièrement mal à l'aise lors des hommages à Mitterrand le bigame, et à Chirac le traitre compulsif, tant "entre ce qu'ils étaient et ce qu'ils voulaient paraitre" il y avait au moins l'épaisseur d'un rouleau de papier toilettes.
J'espère cependant que vous vous en êtes bien remise depuis._____Les diamants de Bokassa !
Excellent prétexte de la catégorie "faits divers hors de l'ordinaire" pour monter une histoire en épingle (à l'époque on ne parlait pas de fake news) pour nuire au chef de l'État. Avant VGE, les présidents Pompidou et de Gaulle avaient aussi été "assiégés" par d'autres histoires.
Bien sûr, ce fut un élément d'immoralité qui joua dans l'élection présidentielle qui suivit. Mais l'immoralité n'a de sens que pour ceux qui la subissent. Elle n'en a pas pour ceux qui la pratiquent. Pour ces derniers, c'est un instrument de conquête du pouvoir, puis de maintien au pouvoir. En terme d'immoralité, il n'y a pas de frontière d'idéologie politique. Tous les prétendants au pouvoir y recourent avec plus ou moins d'ampleur. L'essentiel est de nuire, pas de louer, de détruire, pas de construire.