Contrairement à ce que vous croyez, tout n’était pas rose pour les générations d’après guerre, on était dans des classes de plus de 40, étant dans l’informatique, je travaillais dans un milieu compétitif et surtout masculin, les appartements à Paris étaient chers par rapport aux revenus de l’époque. Vous n’êtes pas la seule à travailler à l’étranger, ma fille qui est chercheuse en maladie neurologique n’a jamais travaillé en France et elle est très heureuse ainsi. Vous êtes une génération qui a eu plus facilement accès aux études donc arrêtez de vous plaindre et surtout de jouer les victimes.____Le respect aux anciens
Il y a d'innombrables familles qui évoluent, bien plus utiles en outre que les Sussex, et celles-là pourtant on n'en parle jamais. Alors arrêtons avec ces deux privilégiés.
A propos de privilégiés, on reste étonné de lire dans ces commentaires la haine des jeunes générations, à qui on a tout donné et qui se cabrent devant le premier effort demandé. Le pire, c'est d'inverser les rôles et d'imaginer que ce sont les précédents qui ont été les plus gâtés! Les plus favorisés depuis 2000 ans! Alors qu'ils ont pris en pleine figure tout le contrecoup de la Seconde Guerre Mondiale, une vie pauvre et triste, une France à reconstruire -ce ne sont pas les nouveaux arrivés, aujourd'hui, qui en auraient été capables- dans des conditions que personne n'accepterait de nos jours, sans parler du peu de perspectives et d'espoirs, des horaires à rallonge, et d'un âge de la retraite qui reculait à mesure qu'on en approchait ! Oui, prière de se renseigner, avant de critiquer les anciens, à qui en plus on doit tout !
Alors les Sussex, dant tout ça...___@lectriceAnonyme
Contrairement à ce que vous croyez, tout n’était pas rose pour les générations d’après guerre, on était dans des classes de plus de 40, étant dans l’informatique, je travaillais dans un milieu compétitif et surtout masculin, les appartements à Paris étaient chers par rapport aux revenus de l’époque. Vous n’êtes pas la seule à travailler à l’étranger, ma fille qui est chercheuse en maladie neurologique n’a jamais travaillé en France et elle est très heureuse ainsi. Vous êtes une génération qui a eu plus facilement accès aux études donc arrêtez de vous plaindre et surtout de jouer les victimes.____L’ânerie des 30 glorieuses
@ Suissande. Vous l’avez appris par cœur votre méchante petite revendication ? Alors sachez que pour ce qui me concerne, née en 1945 je travaillais à l’âge de 14 ans, 45 heures par semaines, 3 semaines de congés payés par an, payais des impôts à l’âge de 21 ans et fus mise à la retraite forcée à l’âge de 63 ans. Tout compte fait je n’ai pas coûté très cher à l’Etat car à 75 ans maintenant je continue à payer ce que je n’ai jamais cessé de faire afin de vous permettre de faire de belles études et de rentrer sur le marché du travail le plus tard possible. A quel titre votre génération pourrait-elle me culpabiliser je vous le demande.____